• Le Canigou vu d'Opoul

    La chapelle Saint Michel

    chapelle Saint Michel

    Le plateau de Salvaterra

    Le plateau de Salvaterra

     La chapelle Sainte Barbe

     Le cimetière

     le plateau de Salvaterra 

     Les grottes

      Les grottes

      Les grottes

      Les grottes

      Les grottes

      Les grottes

     Le roc Redon

     Le roc Redon

     Le roc Redon

     Le plateau de Salvaterra

     

     

      Le plateau de Salvaterra

     Le village abandonné de Périllos

      Le plateau de Salvaterra

      La chapelle Saint Michel

     

       La chapelle Saint Michel

     

    Sainte Barbe

     Le Val Oriole

     La chapelle du Val Oriol

     

      La chapelle du Val Oriol

     

     


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  • Lourdes       2ème partie      Le Sanctuaire .

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    La tombe du Père Giacomo,terrassé par une crise cardiaque dans le train en se rendant à Lourdes ,les gens se rendant sur sa tombe auraient reçu des guérisons miraculeuses.Au cimetière de l'Angelle .


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  • Lourdes        partie 1  Le château fort .

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    mobilier Basque

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    Les stèles (que je n'ai pas pu voir)

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    Saint Martin du Canigou

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    Village Espagnol

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    Eglise fortifiée Templière

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    Saint Bertrand de Comminges

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  • L'abbaye de Saint-Hilaire est une abbaye bénédictine située à Saint-Hilaire dans le département de l'Aude entre Limoux et Carcassonne. L'abbaye fortifiée date du viiie siècle et son église du xiie siècle.L'abbaye est construite sur l'ancien emplacement de la chapelle Saint-Hilaire, premier évêque de Carcassonne. Saint Hilaire évangélisa la région du Carcassès au vie siècle. La première mention écrite de l'abbaye date de 825 et on apprend que celle-ci est d'abord dédiée à saint Saturnin, premier évêque de Toulouse. En 970 a lieu le transfert des reliques de saint Hilaire sous l'abbatiat de Benoît et en présence du comte de Carcassonne Roger Ier.

    Au ixe siècle, une charte de Louis le Débonnaire autorise les moines à élire leur abbé afin de respecter la règle de saint Benoît. Jusqu'au xiie siècle, l'abbaye bénéficie de la protection des comtes de Carcassonne. Pendant la croisade contre les Albigeois, les moines sont accusés de favoriser l'hérésie cathare. Le monastère est pillé et ravagé. Quelques terres et certains biens fonciers sont cédés à la communauté dominicaine de Prouille jusqu'en 1217.

    En 1226, Guillaume de l'Isle, abbé de l'abbaye Saint-Pons de Thomières fut nommé avec les abbés de l'abbaye de Lagrasse et de l'abbaye de Saint-Hilaire pour présider au chapître général des moines noirs de la province de Narbonne, qui fut tenu dans l'abbaye de Saint-Thibéry]] du diocèse d'Agde. C'est pourquoi la Bulle qui est datée de Péruse le 1er juillet, dans laquelle le pape Grégoire IX confirme les statuts qui y furent faits fut adressée à ces trois abbés.

    En 1246Saint Louis ordonne au sénéchal de Carcassonne de restituer les terres à l'abbé de Saint-Hilaire. Au xie siècle elle passe sous l'autorité de l'Abbaye Saint-Michel-de-la-Cluse3.

    Aux xive et xve siècles, l'abbaye connaît de nombreuses difficultés financières, conséquences de la guerre de 100 ans et de la peste noire. Le monastère qui comptait 32 moines au xiie siècle, n'en recense plus que 20 au xive. À partir de 1534, l'abbaye est soumise à la commende et les difficultés financières persistent. C'est durant cette période que la blanquette de Limoux est créée par les moines de Saint-Hilaire en 1531 dans les caves attenantes à l'abbaye. En 1748, les offices claustraux et les places monacales sont supprimés par l'évêque Monseigneur De Bezons de Carcassonne. L'église abbatiale devient église paroissiale dès 1758. À la fin du xviiie siècle, les bâtiments conventuels sont vendus comme biens nationaux.

    L'abbaye bénédictine fortifiée de Saint-Hilaire est constituée d'une église abbatiale, d'un cloître, de deux réfectoires, d'un logis abbatial, d'une ancienne salle capitulaire, de celliers taillés dans la roche, et dans la partie fortifiée d'une prison et de l'ancienne salle des gardes.

     

    -Le cloître;

    Il a été édifié au xive siècle en forme de trapèze irrégulier avec quatre galeries. Elles sont composées d'arcades ogivales et moulurées à colonnettes jumelées. Les chapiteaux taillés dans un seul bloc de pierre sont décorés de feuillages, de visages humains ou d'animaux. La pierre utilisée est le grès qui provient des carrières du Razès. Le centre du cloître comporte un bassin quadrilobe avec en son centre une vasque datant du xvie siècle ainsi qu'un puits. Le cloître est classé monument historique par la liste de 1846

     

    La salle capitulaire;La salle capitulaire est aujourd'hui condamnée. Il ne subsiste qu'une fenêtre géminée en plein cintre ainsi que sa porte d'entrée qui a été entièrement murée.

    Le logis abbatial;

    Cette pièce jouxte la salle capitulaire et était réservée à l'abbé. Utilisée comme salon particulier ou chambre, elle présente une décoration remarquablement bien conservée. Le plafond peint à solives date de la toute fin du xve siècle. Il présente des formes géométriques et des représentations animales et humaines. En revanche, sur les murs, les peintures datent du xixe siècle et représentent les armoiries de tous les abbés de Saint Hilaire avec leur nom et date d'élection. Une partie du plafond peint a été mise au jour et restaurée au début de l'année 2013.

     

     Les caves et la prison ;

    L'église abbatiale;

    L'église abbatiale date du xiie siècle et est classée monument historique par la liste de 1840. Elle se compose d'une abside semi-circulaire en cul de four avec trois baies dotées de vitraux récents. L'abside est cantonnée de deux chapelles latérales une au sud et une au nord qui a été supprimée au profit de la sacristie. La nef est constituée de trois travées voûtées d'ogives datées du xiiie siècle.

     

    Le plafond de l'ancien presbytère est classé monument historique le 22 juillet 1914 alors que les bâtiments à l'est et à l'ouest du cloître sont inscrits monuments historiques le 8 novembre 1990.

    Le sarcophage de saint Sernin;

    L'église abbatiale renferme un sarcophage dit sarcophage de saint Sernin. Ce coffrage sculpté d'un seul bloc dans du marbre blanc des Pyrénées est attribué au maître de Cabestany. On pense qu'il s'agit d’un devant d’autel datant du xiie siècle. Les sculptures entourant l'autel racontent la vie de l’évangélisateur saint Sernin, premier évêque de Toulouse au iiie siècle.

    Le sarcophage est découpé en quatre scènes principales :

     

    • le côté droit raconte la vie d'évangélisateur de saint Sernin. Il possède une crosse à sa main droite et le livre des Évangiles grand ouvert. Ses deux disciples l'entourent : Saint-Honest évêque de Pampelune et Saint-Papoul évangélisateur du Lauragais ;
    • la face avant côté droit, saint Sernin en pleine mission d'évangélisation au milieu de la population. Saint Sernin est arrêté par les Romains car le christianisme n'était pas toléré en 250. Des animaux représentant le paganisme et la barbarie sont représentés sous les pieds de saint Sernin ;
    • la face avant côté gauche représente le martyre de saint Sernin. Il est attaché par une corde à un taureau qui le traîne. Des piques et des chiens excitent le taureau. Des Saintes Puelles, des jeunes filles vierges, sont bénites par saint Sernin ;
    • le côté gauche représente la mise au tombeau de saint Sernin. Le corps est allongé et soutenu par des jeunes femmes. L’âme de saint Sernin s'échappe de son corps vers le paradisaccueilli par des anges. Des femmes se recueillent sur son tombeau dans le but d'obtenir une guérison ou un miracle.
    • L'

      'ABBAYE AU FIL DU TEMPS

      Au début du 9e siècle, une charte de Louis le Débonnaire confirme à l’Abbé de St Hilaire, Monellus, les donations de Charlemagne et autorise les moines à élire leur abbé, se conformant ainsi à la règle bénédictine.

      En 970 a lieu la translation des reliques de Saint Hilaire, sous l’abbatiat de Benoît, en présence de Roger 1er, comte de Carcassonne, et de sa femme, de l’évêque Francon de Carcassonne et de l’abbé de St Michel de Cuxa.

      Jusqu'au XIIIème siècle, l'abbaye bénéficie de la protection des Comtes de Carcassonne (voir le Combat du Lauquet et la Légende de Saint Hilaire), mais à partir de la croisade contre les cathares (1209), elle connaît de graves difficultés de par un long procès qui l'oppose à la communauté dominicaine de Prouilhe.
      De plus, l'élection de l'abbé Arnaud en 1265 est contestée en raison des condamnations pour hérésie de membres de sa famille.

      Au cours du XIVème siècle, malgré des périodes de difficultés financières, l'abbaye entreprend une militarisation du site avec la mise en place d'un fossé, d'une enceinte fortifiée et la rémunération d'une garnison d'hommes armés. Période de troubles liée à la Peste Noire, les conséquences de la guerre de Cent Ans et la présence des Routiers.
      A cette même époque, le cloître actuel est bâti. L'effectif des moines passe de 29 à 20 religieux.

      La Blanquette de Limoux, le plus vieux brut du monde…

      Elle fut inventée par les moines de Saint Hilaire en 1531. Cette invention fut apparemment fortuite : un moine découvrit que le vin, qu’il avait mis en bouteilles et soigneusement bouché de liège, formait des bulles comme s’il commençait une nouvelle fermentation… ainsi le premier brut du monde venait de naître…

       

    • Au XVIème siècle, l’abbaye sera soumise à la Commende* et connaîtra bien des difficultés financières.

      Au cours du XVIIIème siècle, on ne recense plus que six moines qui ne respectent qu'avec peu de rigueur la règle.
      Aussi en 1748, Monseigneur de Bezons, évêque de Carcassonne, prononce la suppression des offices claustraux et places monacales de l'abbaye.
      En 1758, les villageois abandonnent leur église paroissiale (devenue trop petite) au profit de l'église abbatiale. Le cloître devient par conséquent la place du village.
      La fin de ce siècle est marquée par la vente des biens et possessions de l'abbaye.


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  • -MIRO RICOLF.                                                                                                                                                                                                                                                L'histoire de Miró Ricolf n'est pas très connue, mais il est considéré comme une figure importante dans la région de Berguedà et le comté de Cerdanya au 11ème siècle. 

    Ricolf et son frère Miró, Bernard, sont considérés comme les initiateurs des Pinos de la dynastie quand il promis fidélité au comte de Cerdanya, Ramon I de Cerdagne entre 1063 et 1069. Dans cette allégeance est spécifié si votre maître Il mourut, ils continueraient sous le pouvoir de son fils à devenir comte de Berga.

    Miró Ricolf est souvent associée à Ricard Altemir, qui a participé à la conquête et jure allégeance au comte de Cerdanya d'abord, puis le comte de Barcelone et même mutuellement garants les uns des autres lorsqu'ils apportèrent défense et la construction du château de Tàrrega, mais on ne sait pas quelle relation exacte ils avaient. De plus, les deux avaient un fils qui dit Galceran (bien que le fils Miro Miro Ricolf appelé Galceran et Ricard en 1106 appelé Galceran de Pinos). 

    Parmi les faits documentés sur Miró Ricolf, ils se distinguent:

    1050 l'accord entre témoin le comte de Urgell, Ermengol IV et le comte Raymond de la Sardaigne à Ix où le premier ne jurent que de respecter les domaines du comté de Cerdanya. 
    Avec Bernat, il fut membre de la cour du comte de Cerdagne lors d'un procès en 1047 à Cornellà de Conflent.
    Signer comme un témoignage du Nou de Berguedà lorsque le Seigneur de la Portella a changé son épée d'or pour deux maisons avec le Comte Ramon de Cerdanya

    En 1063 Juillet lui et son frère juré fidélité aux comtes de Barcelone Ramon Berenguer I et sa femme Almodis, qui a donné la lecture et le château Balsareny. [1] [5]
    En 1069, le comte de Barcelone a commandé Ricolf château Tarrega Miró pour protéger la ville en 1082 et lui a donné un château en pleine propriété « Monte Albo », qui dépendait ci-dessus. 

     

    -GALCERAN DE PINOS.                                                                                              Galceran II de Pinós était un seigneur, seigneur de Pinós, Vallmanya, Espà, Gósol, Saldes et Querforadat, pour lequel il a prêté serment de fidélité au Comte Ramon Berenguer III de Barcelone et de Cerdanya (1117-1131), domaines auxquels il a ajouté, par la concession de Ramon Berenguer IV (1134), les châteaux de Sant Martí de Tous, Queralt et Miralles, qui, cependant, ne sont pas restés dans les domaines de la famille.

    Il était le fils de Galceran I de Pinós et Adelaida. Il a épousé Estefania et a eu deux enfants: Galceran III de Pinós et Pere de Pinós.

     

     

    La Baronnie de Pinós était une juridiction majestueuse qui appartenait à la lignée des Pins depuis le XIe siècle. La baronnie de Pinós était située dans le comté de Cerdanya, plus précisément dans le Pagus de Berga. [1]

    Le territoire était limité au nord par la Sierra del Cadí, au sud par le ruisseau Malanyeu. Les limites de l'est avec la baronnie Mataplana Gavarrós et à l'ouest de la Serra Verde et Pedraforca y compris les termes Gósol Saldes Feners et l'espace. Au-delà de ces limites de base lords Pines est également propriétaire Banat et Vilanova de Banat (ou Calbell Banat) et Querforadat Ansovell, les termes situés au nord de la Sierra del Cadi, ainsi que les villes de pin et Vallmanya dans le 'Alta Segarra.

    Au centre de la baronnie met en évidence le noyau Baga, qui était la capitale, la graisse, Gisclareny Vilella et Broca.

    Castle Pines, qui est déjà documenté en 995, était situé dans la plage de la marque (ou frontière) qui avait le pagus de Berga (Cerdagne), dans la région de Alta Segarra. [1]

    Dans la légende de la Nouvelle Otger Cataló et Barons de la renommée l'un était le fondateur présumé de la dynastie Pines: Galceran de Pinos, bien que cela ne soit pas acceptée par la discipline de l'histoire et cela a montré légendaire. [1]

    Le premier Pinós enregistré est Miró Ricolf de Pinós, père de Galceran I de Pinós (1068-1117).

    Les barons ont construit le château de Bagà, déjà au 13ème siècle, et en 1233 ont fondé la ville de Bagà.  Galceran de Pinós et son épouse Esclarmonda ont accordé une lettre franche qui a favorisé le règlement de la ville.

    Étaient aussi barons de Pinós et Pere Galceran de Pinos qui ont participé à la guerre en Sardaigne en 1354  vénitiennes génoise mort de la peste, pendant le siège d'Alghero et Pierre II Galceran de Pinos, qui a organisé la défense des Panissars du cou dans la guerre de Jaime IV de Majorque. 

    De Los Pinos, la baronnie passa aux comtes de Lerín et Álvarez de Toledo, ducs d'Alba de Tormes.

     

     

     

     

     


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